Le blog de Magitte

                                         Qui me dira ?

                     Pourquoi ce matin, me suis-je souvenue de cette période ? Il est vrai que je me repasse ma vie "en boucle" et que je me souviens de faits qui, s'ils semblent sans importance, en avaient à l'époque de notre jeunesse. Et voilà comment le premier pantalon long de mon frère m'est revenu en mémoire ! Comme tous les garçons de son temps, il portait des pantalons courts (mais qui arrivaient quand même aux genoux !). Il allait avoir 15 ans et mon père a pensé que l'heure était venue pour lui de s'habiller en homme...C'était ainsi...les parents décidaient et vous obéissiez ... Bon, pour en revenir au pantalon long et dans la foulée, à un costume...le magasin qui s'imposait était La Belle Jardinière, rue de Rivoli à PARIS . Beau magasin de prêt à porter et même de "sur mesures"...A cela deux raisons, la première étant que mon frère allait dans un collège où l'uniforme était obligatoire et que la Belle Jardinière était spécialisée dans tout ce qui était uniformes de tous horizons...La deuxième, c'est que mon père aimait la qualité et que là, elle était bien présente.

                        Les voici donc partis un jour jusqu'à PARIS (nous habitions en banlieue), tous les deux, entre hommes ! Le choix était déjà fait en partie : l'uniforme était bleu-marine, la forme commune à tous les élèves...Classique donc ! Mon frère laisse faire...il n'était pas trop coquet alors et avait confiance dans les choix du père. Et un pantalon supplémentaire, les pantalons courts devant rejoindre le coffre aux souvenirs...Et pourquoi pas, pour le dimanche, une belle cravate ? ça c'était du supplément, un cadeau paternel. Et là, c'était à mon frère de choisir...Désespoir de mon père, André se moquant absolument et de la qualité, et de la couleur...Heureusement que le guide était là ! La cravate a été très belle...

                         Et voilà l'héritier du nom habillé enfin comme un homme...Exit le petit garçon...Avait-il pris goût à la tenue, mais de ce jour, il était devenu coquet...Ou bien commençait-il à s'intéresser aux jeunes demoiselles ? Elles, s'intéressaient à lui... C'est fou ce qu'une vie peut basculer pour la longueur d'un pantalon ! Enfin, c'était comme ça avant ! Avant quoi ? avant la guerre, quand nous étions jeunes et que nous obéissions à nos parents, quand il y avait des étapes dans la vie, pantalons longs pour les garçons, bas pour les filles....et tant d'autres. Il y avait temps pour tout.

                          Tout a évolué, certaines choses en bien, d'autres étant à revoir...Ainsi va la vie .....

                     ...Mais j'peux point !...

                     Me mettre à l'unisson de cette époque ! Et pourtant, je croyais avoir suivi les progrès de près, ne pas être restée dans le "jadis", vivre avec mon temps ! Illusions ! je m'aperçois que j'ai bien du mal à suivre lorsque j'entends les nouvelles diffusées à la radio ou à la Télévision...

                     Quelle vie ! Elle semble n'être faite que de magouilles, d'histoires de sexe, de crimes, de vengeances....Plus aucune moralité...Plus de conscience...Ces mots ne doivent même plus exister ? Plouf ! ils ont été envoyés aux oubliettes !...Et il y a l'ARGENT, l'argent majuscule, celui qu'il faut gagner de n'importe quelle façon, si on veut être "dans les normes"...et être considéré...

                      Des histoires horribles font la une des journaux : enlèvement d'enfants, coups mortels donnés par des élèves dans les écoles, écoliers (ou un membre de leur famille) agressant un professeur pour une note jugée injuste (!), que sais-je encore ? On agresse, on tue comme on dirait bonjour (il est vrai que ce mot ne se dit plus beaucoup...)

                       Mais où allons-nous ? à la dérive à coup sûr...Le droit chemin, sait-on encore ce qu'il peut être ? Et cependant il peut être si beau. Comme on disait jadis "la satisfaction du devoir accompli"...ça fait  vieux non ? Rien que ce mot "devoir" n'est plus de saison...c'était bon jadis, quand droits et devoirs étaient équivalents...Seul le mot "droit" est resté...Et si nous l'améliorions en nous redressant tout bêtement ? en nous secouant un peu et même un "gros peu". Redevenir fiers de nous, de nos enfants, de la vie que nos menons en pensant qu'elle est composée de droits et de devoirs, en bloc...

                        Si tout n'était pas bien jadis, les "progrès" débridés qui ont vu le jour depuis des décennies, ne sont pas tellement mieux...La morale fait partie de la vie de tous les jours et son absence actuellement se fait cruellement sentir.

                         Moi, je voudrais bien me sentir à l'aise dans cette vie !

                     Une splendeur..

                     Lu et copié sur Wikipédia :

"Aménagé en 1969, à l'occasion des Troisièmes Floralies Internationales, le parc Floral de Paris est un paysage "sans cesse en mouvement, un lieu unique d'observation, mais surtout de détente pour les amateurs d'art floralet "de promenade au vert. Depuis 1998, il est l'un des quatre jardins, avec le parc de Bagatelle, l'Ecole Breuil"et le "Jardin des Serres d'Auteuil, qui forme le jardin botanique de Paris, sous le label de " jardin botanique "deFrance et des pays francophones ".Des micro-climats permettent au " jardin des bonsaï ", au " jardin "des plantes méditerranéennes ", au " jardin des lierres ", au " jardin des plantes médicinales "... de s'épanouir.

                                            Le parc floral de PARIS, je n'y suis jamais retournée...Mais je me souviens des Floralies Internationales de PARIS de 1969 que mon mari et moi avions visitées et qui m'ont laissé un souvenir inoubliable. Le cadre d'abord s'y prêtait : le Bois de Vincennes, cher aux Parisiens, ce bois de Vincennes qui avait déjà hébergé l'Exposition Coloniale de...1934 ! et dans lequel se trouve le Zoo de Vincennes... En 1969, c'était le paradis des fleurs, de toutes sortes, de toutes origines. Une véritable splendeur s'offrait à la vue des visiteurs...Le beau temps ayant été de la partie, nous avions apprécié la nature (même un peu aidée), dans toute sa beauté.

                      Heureusement, si les Floralies Internationales n'avaient qu'un temps, le Parc Floral est resté pour la plus grande joie des parisiens et des touristes français et étrangers. C'est une sortie à faire, de même que le parc de Bagatelle où j'ai eu l'occasion d'admirer des roses extraordinaires, il y a de cela bien longtemps déjà.... Il y a de belles promenades à faire dans Paris....Parcs et Jardins sont magnifiques et moi, je les aime beaucoup en automne ! C'est peut-être la raison qui m'a fait m'en souvenir aujourd'hui !

                       Il est bon de penser à un "jardin extraordinaire" en cette période de nouvelles en grisaille....

                                      Parole de plombier...

                   Il y a une bonne cinquantaine d'années, mes plus jeunes enfants jouaient à la maison...il y avait le père (mon plus jeune fils), la mère (ma fille) et les poupées qui représentaient les enfants ... Le père, qui prenait son rôle au sérieux, donne ses instructions à sa femme avant de partir au travail et lui dit en lui tendant un objet :"tiens, mets ça sur c'te table"...et il croit bon d'ajouter:"je parle comme ça, parce que je serais plombier et les plombiers disent c'te table" !!! Est-ce que cette façon de parler lui avait semblé plus élégante ? ou bien posait-elle "son homme" ? Ce qui est certain, c'est que cela lui avait servi de leçon ! Il était un travailleur et il connaissait les bonnes manières...

                    Cette petite anecdote m'est revenue hier soir, lorsque j'ai entendu un journaliste commenter les élections au Sénat et, parlant du palais du Sénat, disant dans "c'te maison"...Oui, mais voilà, il n'avait pas 4 ans lui ! il était censé avoir fait un minimum d'études et connaître le français...Sûr, on va trouver que je chipote et c'est sans doute vrai...Je sais bien, il y a le parler français, le parler des régions où certaines expressions ont la vie dure, ce qui n'empêche pas celui qui les emploie d'écrire un français correct si dans une conversation se glissent quelques mots de terroir...Mais un journaliste à la télévision, entendu par des millions de personnes, devrait se surveiller.....ça m'a un peu gênée et peut-être d'autres personnes ?

                      Heureusement que, comme toujours, un mot entendu me ramène à des années-lumière en arrière ! Cela m'a permis de revoir mes enfants dans ce petit appartement à PARIS...et de me souvenir...Alors, rien que pour ça, merci Monsieur ! Mais, tout de même....

                     Punition jadis...

                     Tu feras 100 lignes...Tu copieras 100 fois...Qui ne se souvient de ces punitions données par les enseignants jadis (alors qu'on les appelait maître ou maîtresse...) et qui n'ont peut-être plus cours ? Utiles, pas utiles ? c'est selon... Ce que je sais c'est qu'hier, j'ai entendu cette question posée par un animateur de Télé :"comment appelle-t-on le mâle de l'oie"? 20/20, c'est la note que j'aurais pu obtenir...Et pour cause !

                      Alors que j'étais au cours élémentaire, je me souviens que la maîtresse, s'apercevant que je n'écoutais pas, trop occupée à bavarder (déjà !), m'a demandé ce qu'elle venait de dire....Silence total, je ne savais absolument pas de quoi il était question ! Il y des choses qu'on n'invente pas...Elle venait de dire que le mâle de l'oie était le jars...Je voulais bien la croire, c'était tout ce que je pouvais faire pour elle dans l'immédiat ! La sentence est tombée "Tu copieras 100 fois : "le jars, l'oie"...et pour corser le tout, c'était à faire signer par mes parents.... Et voilà pourquoi à 88 ans bien sonnés, ces deux petits mots se sont logés à tout jamais dans mon esprit ! C'est long 100 fois surtout quand on a 6 ou 7 ans...

                        Je ne pense pas qu'on donne encore ce genre de punition. Ce que je sais, c'est que je ne dissocie jamais l'oie du jars ! "le jars, l'oie"...c'est à répétition et ça semble ne faire qu'un seul mot pour moi !

                         C'était juste pour "rafraîchir" le temps actuel et pour faire sourire !

                          Bon Dimanche !

                       Dur, dur, de conserver bon moral !...

                       Nous voguons sur un fleuve de mensonges, corruptions en tous genres...Question : Qui n'a pas trempé dans quoi ? Candide de service, je me demande si chaque individu parmi ceux qui nous gouvernent ou nous ont gouverné un jour, n'a pas quelque chose à se reprocher...Pour être "dans la note", il faut vraisemblablement avoir touché des pots de vin ou avoir transporté des valises pour le compte d'une personnalité !

                        Personne ne semble "aussi blanc que blanc"...Chaque jour apporte des nouvelles révélations, vraies ou fausses...l'important, c'est de les diffuser et de nuire. "Ils n'en mouraient pas tous, mais tous étaient frappés..." Jean de la Fontaine, revenez-nous ! nous avons besoin de vous...Journaux, radio, télévision, Internet, la diffusion des nouvelles est assurée... quelle ambiance !

                        Quelle boue, quelle fange....Et pourquoi ? Besoin de franchise et de moralité tout à coup ? C'est ça qui serait beau, trop beau même... Non, il faut bien penser à la campagne électorale qui bat son plein. Tous les coups sont permis, bas de préférence....Je n'arrive pas à croire que tout ce qui se dit est vrai...Candide je suis, candide je resterai...Faut-il voir le mal partout ?Et cette affaire DSK qui n'en finit pas...Trop, c'est trop !

                         Je sens que j'ai vieilli, je regrette mon enfance...et son innocence...Est-ce que l'homme serait foncièrement mauvais ? On pourrait le croire...

                          Je semble désabusée ? Mais, je le suis vraiment...Heureusement que des joies viennent de la famille, des amis connus ou presque inconnus...Bon allez, courage....nous n'avons pas des élections tous les ans !

                           Et ma petite Anaëlle qui veut "que je fasse encore dix ans" ! J'essaierai....

                     Ginette NEVEU...

                     Violoniste, virtuose, enfant prodige née en 1919 est décédée tragiquement au large des Açores le 28 octobre 1949, en même temps que Marcel CERDAN...Le vol PARIS/NEW YORK  s'est écrasé cette nuit là...Tout était fini en très peu de temps. Marcel Cerdan est mort et on en a beaucoup parlé, Ginette Neveu et son frère Jean, pianiste, qui l'accompagnait, avec beaucoup d'autres voyageurs, ont trouvé la mort également...C'est comme ça dans les accidents d'avion...

                      Ginette Neveu était connue du monde entier...Elle faisait chanter et pleurer son Stradivarius...et peut-être même quelques passionnés...C'est si beau un violon qui pleure. Son violon n'a pas été retrouvé...la boîte était vide...tiens, tiens....Je me souviens qu'on avait alors mentionné son nom "pour mémoire"...LA disparition dont on parlait, c'était celle de Marcel Cerdan. Il était adulé des français et d'autres pays. C'était un grand champion...On l'aimait...et il y avait cete romance avec Edith Piaf qui passionnait le monde...les journalistes ne pouvaient laisser passer....

                       Depuis, si on parle toujours de Marcel Cerdan, on ne parle plus ou presque (!) de Ginette Neveu...Combien de personnalités célèbres de leur vivant, sont-elles ainsi oubliées par le commun des mortels ? Complètement oubliées, ce n'est peut-être pas ce qu'il convient de dire...Non, occultées pour un temps ? Hier, j'ai entendu parler "en passant" de Ginette Neveu à la télévision et je me suis souvenue de sa soeur avec laquelle j'avais eu le plaisir de travailler dans les années 1960...Elle était un peu triste de cet oubli, elle qui avait perdu dans cette catastrophe sa soeur et son frère....

                        La vie continue...L'indifférence s'installe...Des écrivains célèbres en leur temps, des auteurs qu'on a aimés et appréciés, des acteurs qui nous ont fait vibrer, des chercheurs, connaissent ce sort. Peut-on parler d'égoïsme ? Tranquillisez-vous bonnes gens, un jour de "disette journalistique" un journaliste aura bien l'idée de vous relancer, ne serait-ce que pour un temps...

                    A appliquer d'urgence...

                    Les temps sont durs...La France est en crise...Nous ne produisons pas assez, nous ne vendons pas assez, nous n'exportons pas assez ! Il existe pourtant un remède simple à cette situation ! Mais si...mon père racontait même une petite histoire (il en racontait tellement !) à ce sujet. Et comme je ne suis pas égoïste, je vais essayer d'en faire profiter tous nos dirigeants qui se lamentent sur les déficits de notre pays...J'espère simplement qu'ils liront cette recette tellement simple que même nos anciens ENARQUES, POLYTECHNICIENS, ou autres têtes pensantes...auraient pu y penser !

                    Un chef d'entreprise qui avait bien du mal à mener sa PME et surtout à assurer ses fins de mois (ne serait-ce que pour ne pas avoir d'histoires avec son banquier), se mit à augmenter sa production de façon un peu "anarchique". Pour ça, il lui fallut embaucher,mais au prix du marché...Publicité, promotions hors du commun pour la vente à des prix défiant toute concurrence, lui attirèrent quelques mises en garde de son service comptabilité...Mais les commandes affluèrent...Les différents chefs de service ne comprenaient pas très bien où le patron voulait en venir...Alors ce brave homme leur dit : "C'est simple, je perds un peu sur tout, mais je me rattrape sur la quantité vendue ! "

                      L'innocence à ce point, ça s'admire !

                      Et si c'était la solution : vendre à perte, mais...avoir des carnets de commandes bien remplis. Imaginons l'exportation s'envolant !C'est ça qui serait bien pour notre pays ! Bien sûr, les déficits seraient encore là, aggravés même, mais s'il fallait s'arrêter à ça !

                      Petite précision: Je n'ai pas l'intention de postuler pour le poste de ministre des Finances !

                     Il y a déjà quelques années...

                          Magitte a l'esprit ailleurs aujourd'hui...Alors je sens bien qu'il faut que je l'aide pour ce blog et comme c'est un vrai plaisir pour moi, allons-y !Il y a bien des années, à ROBION, j'aimais quand les petits-enfants venaient, je sais bien que je l'ai déjà dit, mais ce sont de si bons souvenirs pour moi... Il y avait les garçons, au nombre de quatre, et seulement deux filles dont la plus jeune était Caroline. Nous étions très copains tous les deux...

                           Et voilà...les années ont passé et ma petite amie d'enfance se marie demain...Elle a grandi, comme ses frères et cousins...C'est normal parait-il...Toute la famille est sur les routes de France pour aller assister à ce "mariage du siècle", en Normandie...Magitte a trouvé que c'était bien loin pour elle, mais son esprit est très occupé ! Entre les pensées pour sa petite-fille, et les soucis qu'elle se fait de savoir tout le monde sur les routes...je la comprends ! Certains sont déjà arrivés et le téléphone fonctionne pour la tranquilliser...Et c'est promis, on lui racontera tout...E elle dit qu'on peut tellement être présent en pensée...

                            Mais le blog, pour aujourd'hui elle n'avait pas d'idées ! Heureusement que je suis là....

                             A bientôt peut-être.

                             Squirou....remplaçant !

                    "Elle roucoule, coule, coule..."

                    Hier soir, en regardant la télévision, j'ai fait une grande promenade en longeant la Seine...L'émission "Des Racines et des Ailes" nous emmenait en escapade tout le long de son cours, depuis sa sortie de terre en mince filet d'eau bien pure, en Côte d'Or, jusqu'à son embouchure dans la Manche... J'étais "aux anges" ! Cette Seine, je l'ai côtoyée une grande partie de ma vie...Elle traversait ATHIS/JUVISY où mon enfance, mon adolescence, ma vie de jeune femme se sont écoulées...Et c'était un but de promenade, une récompense même : aller au bord de la Seine...Quand je me suis mariée, de ce petit appartement qui était le nôtre, nous pouvions l'admirer "de haut" depuis notre pigeonnier ! Jamais pareille et toujours la même pourtant !

                      Je l'admirais aussi de chez mes grands-parents à PARIS en regardant les bateaux-mouches qui l'empruntaient... Et je n'oublie pas que je l'ai vue se perdre dans la mer, la première fois que j'ai vu celle-ci à HONFLEUR. Que de souvenirs de jeunesse...Tout me revenait à l'esprit : les pique-niques au bord de l'eau, les parties de pêche de mon père qui ne prenait aucun poisson mais en achetait aux pêcheurs plus chanceux (!)... Les fritures mangées dans ces petits cafés-restaurants qui bordaient les berges, et qui pour mon frère et moi étaient aussi luxueux que "La Tour d'Argent" à PARIS ! Ah oui, j'ose le dire, c'était le bon temps...

                       Est-ce du chauvinisme ? oh non, mais je l'aime ma Seine...Dommage qu'elle devienne un peu sale à certains endroits...Je suis Parisienne et elle traverse PARIS. C'est mon fleuve !Quand je l'ai vue serpenter dans les campagnes hier soir, je crois bien que j'étais émue....Et les paysages étaient si beaux !

                       Vous l'aurez compris : j'aime la Seine !